Je m’interroge aujourd’hui sur la polémique de Jean Sarkozy et de sa –apparemment- probable élection à la tête de l’EPAD.
Tous les gros titres se font sur le népotisme, l’attaque de la personne de jean et à travers lui bien sur son père ainsi que ses promesses électorales de mérite aux nominations etc.
Mais je crois que c’est vrai que les médias se trompent de cibles.
Si lors que l’on interviewe Jean Sarkozy sur cette candidature et son manque d’expérience, il faudrait déjà se poser la question de pourquoi se présente t’il et quelle est son plan.
Je me doute que se proposer à la candidature d’un poste ainsi ne doit être quand même plus qu’un simple marche pied-tremplin afin de se propulser à la présidence d’une région la plus riche de France.
Je ne peux que deviner les plans du candidat Sarkozy à cette présidence doit être plus motivée par une vision qu’un simple poste honorifique qui fait que de toute façon les gens de l’ombre tireront les ficelles et feront avancer la machine.
Bien sur il y a autre chose mais personne ne le demande, trop pressé à accuser le fait du prince et un népotisme involontaire de la part d’un papa président de la république.
Comme le signale si bien Jean Sarkozy, c’est une candidature à une élection.
Je ne sais pas si il y a d’autres candidats à ce poste (d’aucuns pourrait justement vouloir aussi être nominé à ce poste apparemment si convoité), mais en l’occurrence il y a bien des gens qui votent pour élire ce président.
Donc pourquoi les journalistes ne vont pas demander à ces électeurs en puissance quelles seraient leurs motivations pour amener à leur présidence un jeune homme de 23 ans qui n’a pas encore sa licence de droit ?
Si il n’y a point de népotisme ou de magouilles élyséennes, sûrement le conseil d'administration doit avoir des arguments favorables pour à priori valider cette candidature plus qu’une autre.
A moins qu’effectivement, jean Sarkozy soit le seul candidat…Ce qui me paraîtrait bien dommage surtout si le précédent administrateur a démissionné trois mois après son arrivée pour laisser sa place à un Jean Sarkozy qui du coup peut présenter sa candidature à un poste de président d'une administration qu'il vient donc d'intégrer.
Quand au démissionnaire apparemment il a été nommé membre du conseil économique et social par décret présidentiel en attendnat selon le canard enchainé de prochaines élections sénatoriales…